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أهلا وسهلا ومرحبا بكم في رحاب سيدي الشيخ
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مشاركة اذبية
Déplacement vers l'oriental
Sidi Rahal, mon point de départ, est situé à peu près au dessus de la même ligne médiane du globe que celle de Figuig, la 32°07 ’ N / 01°14 ‘ W, autrement dit, à vol d’oiseau, c’est tout droit de l’Océan à la frontière Algéro-marocaine, donc le Maroc en largeur. Mais par la route, c’est tout autre chose : le trajet est long de 1058 km vers l’oriental via Oujda, ou bien, plus au moins 800 km en traversant le Moyen Atlas et prenant des raccourcis. Le temps nécessaire pour arriver à destination varie donc entre 10 et 12 heures de transport, non compris les arrêts.
J’ai quitté ma demeure habituelle dans le but de passer deux nuits à Rabat pour bien préparer mon déplacement. Donc, ce 17 septembre 2008 à 7h20 j’ai pris à la gare de l’Agdal le premier train de la journée qui était, comme à l’accoutumée, arrivé avec 10 minutes de retard. C’était bien la première fois que je n’ai pas fait attention aux paysages et inconvénients qu’offrait le voyage par train., à cause du mal que je sentais.
A mon arrivée à Oujda vers 17 h, j’ai vite regagné mon hôtel, heureusement tout près de la gare. Comme c’était un dimanche, j’ai cherché la pharmacie de garde pour prendre les médicaments afin de soulager mes maux de tête. Puis arriva l’heure de prendre mon Ftor que j’ai avalé rapidement. Tout de suite après, je me suis mis au lit et, profondément endormi jusqu’au matin.
A mon réveil, je me sentais mieux ; j’ai pris mon petit déjeuner un peu copieux puisqu’en service de buffet. Ensuite, je suis parvenu à prendre le train pour Layoune, à 45 mn de là, une étape de repos me permettant de passer la journée entièrement en famille ; c’est la ville natale de feu mon père. J’étais attendu chez le fils de l’une des deux de mes cousines germaines qui habitent Layoune, avec leurs enfants. Il s’agit de Si Hamza dont sa mère est Setty Fatna. Aussi bien elle que ses trois sœurs, tel que je le sentais à chaque rencontre avec elles, se font un grand et chaleureux plaisir à m’avoir à leur côté et à discuter un peu avec moi. Certainement, elles sentent en moi l’odeur de leur oncle maternel, feu mon père.
Evidemment que notre discussion avait porté sur les ancêtres. Le travail entrepris par moi pour construire l’arbre généalogique était apprécié à sa juste valeur. J’appris que pour m’aider Si hamza et sa sœur collectent les renseignements sur la génération montante. . Comme j’avais mon billet retour à Oujda, personne n’a pu me retenir du fait que j’ai convaincu tout ce monde que le mieux pour moi était de passer ma nuit dans mon hôtel. C’était bien ainsi qu’on m’approuva, pour bien récupérer et pouvoir poursuivre mon voyage comme prévu. Donc, j’ai pris le train de 16 h et à Oujda où il faisait bon, j’ai téléphoné pour donner signe de vie. Puis, grâce au PC mis gratuitement à la disposition des clients de l’hôtel, j’ai lu mon courriel et y répondu. Il n’était pas encore 19h lorsque, après avoir pris mon casse-croute et mes médicaments, j’étais déjà ensommeillé.
A ma seconde journée de ce déplacement et dès mon réveil, j’ai pris mon petit déjeuner.. En quittant l’hôtel, ce fut une seconde étape de ce déplacement pour visiter les cousins proches et lointains qui résident à Ain Beni Mathar. Cette localité est à plus d’une heure de route en taxi. A mon arrivée, j’ai cherché à voir le monde de cette cité où il faisait chaud, mais pas trop. Nécessairement, il me fallait boire à longueur de journée. Installé tranquillement, j’ai téléphoné à droite et à gauche. Le cheikh Haj Mohamed Ben Saad, de la parenté collatérale de mon père, disons un proche cousin, était absent. Je n’ai eu que son fils Si Mohamed, qui m’a immédiatement rejoint. Au cyber où je me trouvais et à la lecture de mon courriel, je n’arrivais pas à m’expliquer le fait de lire un commentaire tombé dans mon blog. Mais je pensais que c’était un bon signe de mon périple, dans la mesure où l’objet du commentaire avait trait aux démarches de rapprochement des descendants de notre grande famille les Ouled Sid Cheikh et à leur généalogie. Son auteur habite la localité de Beni Ounnif en Algérie. C’est la cité frontalière voisine de Figuig, l’oasis où j’allais me rendre le lendemain. C’était certainement le fait du hasard ou bien la destinée des choses. Naturellement ce n’était pas de la suspicion de ma part.
Ensuite, j’ai cherché un cousin lointain originaire de Ain Beni Mathar, mais résidant en France, en l’occurrence Sidi Mohamed Ben Cheikh. A mon regret, il n’était pas sur place. Et, pourtant, l’un des buts principaux de ma venue ici était de le voir pour qu’il me présente aux gens de ma sous fraction ; des cousins dont j’étais impatient de faire la connaissance. Donc pour cette question, c’était raté, d’autant plus que mon accompagnateur ne pouvait m’en dire quoi que ce soit, bien que sa lignée appartienne à la même branche, les Majdoubi. J’ai par ailleurs frappé à la porte d’autres connaissances que je ne trouvais pas. On dirait que tout le monde était parti ailleurs et ensemble pour une mission déterminée ou un événement à saluer.
Mais, finalement, j’ai pu mettre la main sur Sid Abdelkader Bentayeb chez qui, après les salutations d’usage de bienvenue et d’hospitalité, je me suis bien reposé, avec le fils de mon cousin. Notre discussion était chaleureuse et approfondie au sujet de ma recherche ancestrale. J’ai eu droit à tous les louages et les éloges pour ma démarche. Tous les sujets abordés m’avaient satisfait. Mon idée d’aller à Ogdet Mangoub pour tenter de vérifier les éléments d’information en ma possession au sujet d’un éventuel sanctuaire à Ogdet Rhamna, en en Algérie, à 5 km de la frontière, a été appréciée par mes interlocuteurs ; ce qui m’encouragea davantage à persévérer, s’agissant du second but de ma venue ici.
Mais j’ai appris que le transport vers la frontière faisait défaut. Pour m’y rendre, il me fallait trouver un transporteur clandestin. Après une longue confrontation et à la réflexion, j’ai du carrément renoncé à mon idée. D’autant plus que j’ai expliqué à Si Mohamed, le fils de mon cousin le Cheikh, que c’était bien à lui ou l’un de ses frères qui sont sur place, d’aller lorsqu’ils en ont auront l’occasion pour recueillir les précisions dont j’ai besoin pour mon enquête. En effet, j’ai remarqué en examinant leur lignée ancestrale que leur aïeul de la troisième génération après le grand et prestigieux Sidi Cheikh, s’appelait Sidi El Majdoub. Pour moi c’était plus que probable que ce soit cet ancêtre, tête de lignée ancestrale, au niveau de notre sous fraction commune, qui est enterré à l’endroit en question. J’espère qu’un jour on en saura davantage sur cette question. En tous les cas, ces éléments constituent une nouveauté dans ma recherche. Ce qui fit que c’était déjà un résultat probant dans mon enquête.
Voulant rentrer immédiatement à Oujda pour ma dernière nuit, j’ai pris le taxi. A mon arrivée, il ne faisait pas chaud, ce qui était exceptionnel, mais surtout très agréable pour moi.
َA suivre
Sidi Rahal, mon point de départ, est situé à peu près au dessus de la même ligne médiane du globe que celle de Figuig, la 32°07 ’ N / 01°14 ‘ W, autrement dit, à vol d’oiseau, c’est tout droit de l’Océan à la frontière Algéro-marocaine, donc le Maroc en largeur. Mais par la route, c’est tout autre chose : le trajet est long de 1058 km vers l’oriental via Oujda, ou bien, plus au moins 800 km en traversant le Moyen Atlas et prenant des raccourcis. Le temps nécessaire pour arriver à destination varie donc entre 10 et 12 heures de transport, non compris les arrêts.
J’ai quitté ma demeure habituelle dans le but de passer deux nuits à Rabat pour bien préparer mon déplacement. Donc, ce 17 septembre 2008 à 7h20 j’ai pris à la gare de l’Agdal le premier train de la journée qui était, comme à l’accoutumée, arrivé avec 10 minutes de retard. C’était bien la première fois que je n’ai pas fait attention aux paysages et inconvénients qu’offrait le voyage par train., à cause du mal que je sentais.
A mon arrivée à Oujda vers 17 h, j’ai vite regagné mon hôtel, heureusement tout près de la gare. Comme c’était un dimanche, j’ai cherché la pharmacie de garde pour prendre les médicaments afin de soulager mes maux de tête. Puis arriva l’heure de prendre mon Ftor que j’ai avalé rapidement. Tout de suite après, je me suis mis au lit et, profondément endormi jusqu’au matin.
A mon réveil, je me sentais mieux ; j’ai pris mon petit déjeuner un peu copieux puisqu’en service de buffet. Ensuite, je suis parvenu à prendre le train pour Layoune, à 45 mn de là, une étape de repos me permettant de passer la journée entièrement en famille ; c’est la ville natale de feu mon père. J’étais attendu chez le fils de l’une des deux de mes cousines germaines qui habitent Layoune, avec leurs enfants. Il s’agit de Si Hamza dont sa mère est Setty Fatna. Aussi bien elle que ses trois sœurs, tel que je le sentais à chaque rencontre avec elles, se font un grand et chaleureux plaisir à m’avoir à leur côté et à discuter un peu avec moi. Certainement, elles sentent en moi l’odeur de leur oncle maternel, feu mon père.
Evidemment que notre discussion avait porté sur les ancêtres. Le travail entrepris par moi pour construire l’arbre généalogique était apprécié à sa juste valeur. J’appris que pour m’aider Si hamza et sa sœur collectent les renseignements sur la génération montante. . Comme j’avais mon billet retour à Oujda, personne n’a pu me retenir du fait que j’ai convaincu tout ce monde que le mieux pour moi était de passer ma nuit dans mon hôtel. C’était bien ainsi qu’on m’approuva, pour bien récupérer et pouvoir poursuivre mon voyage comme prévu. Donc, j’ai pris le train de 16 h et à Oujda où il faisait bon, j’ai téléphoné pour donner signe de vie. Puis, grâce au PC mis gratuitement à la disposition des clients de l’hôtel, j’ai lu mon courriel et y répondu. Il n’était pas encore 19h lorsque, après avoir pris mon casse-croute et mes médicaments, j’étais déjà ensommeillé.
A ma seconde journée de ce déplacement et dès mon réveil, j’ai pris mon petit déjeuner.. En quittant l’hôtel, ce fut une seconde étape de ce déplacement pour visiter les cousins proches et lointains qui résident à Ain Beni Mathar. Cette localité est à plus d’une heure de route en taxi. A mon arrivée, j’ai cherché à voir le monde de cette cité où il faisait chaud, mais pas trop. Nécessairement, il me fallait boire à longueur de journée. Installé tranquillement, j’ai téléphoné à droite et à gauche. Le cheikh Haj Mohamed Ben Saad, de la parenté collatérale de mon père, disons un proche cousin, était absent. Je n’ai eu que son fils Si Mohamed, qui m’a immédiatement rejoint. Au cyber où je me trouvais et à la lecture de mon courriel, je n’arrivais pas à m’expliquer le fait de lire un commentaire tombé dans mon blog. Mais je pensais que c’était un bon signe de mon périple, dans la mesure où l’objet du commentaire avait trait aux démarches de rapprochement des descendants de notre grande famille les Ouled Sid Cheikh et à leur généalogie. Son auteur habite la localité de Beni Ounnif en Algérie. C’est la cité frontalière voisine de Figuig, l’oasis où j’allais me rendre le lendemain. C’était certainement le fait du hasard ou bien la destinée des choses. Naturellement ce n’était pas de la suspicion de ma part.
Ensuite, j’ai cherché un cousin lointain originaire de Ain Beni Mathar, mais résidant en France, en l’occurrence Sidi Mohamed Ben Cheikh. A mon regret, il n’était pas sur place. Et, pourtant, l’un des buts principaux de ma venue ici était de le voir pour qu’il me présente aux gens de ma sous fraction ; des cousins dont j’étais impatient de faire la connaissance. Donc pour cette question, c’était raté, d’autant plus que mon accompagnateur ne pouvait m’en dire quoi que ce soit, bien que sa lignée appartienne à la même branche, les Majdoubi. J’ai par ailleurs frappé à la porte d’autres connaissances que je ne trouvais pas. On dirait que tout le monde était parti ailleurs et ensemble pour une mission déterminée ou un événement à saluer.
Mais, finalement, j’ai pu mettre la main sur Sid Abdelkader Bentayeb chez qui, après les salutations d’usage de bienvenue et d’hospitalité, je me suis bien reposé, avec le fils de mon cousin. Notre discussion était chaleureuse et approfondie au sujet de ma recherche ancestrale. J’ai eu droit à tous les louages et les éloges pour ma démarche. Tous les sujets abordés m’avaient satisfait. Mon idée d’aller à Ogdet Mangoub pour tenter de vérifier les éléments d’information en ma possession au sujet d’un éventuel sanctuaire à Ogdet Rhamna, en en Algérie, à 5 km de la frontière, a été appréciée par mes interlocuteurs ; ce qui m’encouragea davantage à persévérer, s’agissant du second but de ma venue ici.
Mais j’ai appris que le transport vers la frontière faisait défaut. Pour m’y rendre, il me fallait trouver un transporteur clandestin. Après une longue confrontation et à la réflexion, j’ai du carrément renoncé à mon idée. D’autant plus que j’ai expliqué à Si Mohamed, le fils de mon cousin le Cheikh, que c’était bien à lui ou l’un de ses frères qui sont sur place, d’aller lorsqu’ils en ont auront l’occasion pour recueillir les précisions dont j’ai besoin pour mon enquête. En effet, j’ai remarqué en examinant leur lignée ancestrale que leur aïeul de la troisième génération après le grand et prestigieux Sidi Cheikh, s’appelait Sidi El Majdoub. Pour moi c’était plus que probable que ce soit cet ancêtre, tête de lignée ancestrale, au niveau de notre sous fraction commune, qui est enterré à l’endroit en question. J’espère qu’un jour on en saura davantage sur cette question. En tous les cas, ces éléments constituent une nouveauté dans ma recherche. Ce qui fit que c’était déjà un résultat probant dans mon enquête.
Voulant rentrer immédiatement à Oujda pour ma dernière nuit, j’ai pris le taxi. A mon arrivée, il ne faisait pas chaud, ce qui était exceptionnel, mais surtout très agréable pour moi.
َA suivre
محمد بلمعمر- مستشار المنتدى
- عدد الرسائل : 1831
نقاط : 7589
تاريخ التسجيل : 25/05/2008
رد: مشاركة اذبية
لك عزيزى القارء رابطا لأخد فكرة عن عين بني مطهر التي كتبت في النص أنني زوتها:
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محمد بلمعمر- مستشار المنتدى
- عدد الرسائل : 1831
نقاط : 7589
تاريخ التسجيل : 25/05/2008
رد: مشاركة اذبية
شكرا لك سي بلمعمر ، لقد اطلعت على صفحة وكيبيديا الخاصة بعين بني مطر ، لكنها تحتاج إلى التعديل والتنسيق لتظهر بشكل لائق ، وعليه أدعو مرة أخرى معد الصفحة لاستخدام التنسيقات والتعديلات المتاحة.
بالمناسبة ، أدعوك بدوري للإطلاع على صفحات وكيبيديا الخاصة بالأبيض سيدي الشيخ ،
بالعربية : [وحدهم المشرفون لديهم صلاحيات معاينة هذا الرابط]
بالفرنسية : [وحدهم المشرفون لديهم صلاحيات معاينة هذا الرابط]
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ali12- عضو نشيط
- عدد الرسائل : 215
نقاط : 5989
تاريخ التسجيل : 19/04/2008
رد: مشاركة اذبية
جميل جدا. لقد زرت الموقع باللغتين و اطلعت على مضمونهما بشوق و اعجاب، راجيا من الله أن يوفق الجميع و متمنيا منه جلت قدرته أن ياتي يوم يمكن لي أن أحج لهذا المقام السعيد. آمن.
محمد بلمعمر- مستشار المنتدى
- عدد الرسائل : 1831
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تاريخ التسجيل : 25/05/2008
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